Neuroblastome : la piste génétique
Par Benje le mercredi, mai 14 2008, 23:19 - Nouvelles Scientifiques - Lien permanent
Nouvelle lue sur Yahoo! Actualités
Par Destination Santé - Mercredi 14 mai, 07h50 - Source : New England Journal of Medicine, 7 mai 2008
Du nouveau dans la compréhension du neuroblastome. Une équipe internationale de chercheurs vient d'identifier une mutation génétique susceptible d'être impliquée dans la survenue de ce cancer, souvent fatal, du système nerveux périphérique chez le jeune enfant. Il s'agit d'un marqueur semble-t-il, prometteur.
La mutation se situe sur le chromosome 6, dans une région appelée 6p22. « Les petits patients porteurs de cette mutation seraient plus exposés à une forme agressive de neuroblastome » précise le Dr John M. Maris, oncopédiatre au Children's Hospital of Philadelphia (Etats-Unis) et principal auteur de ce travail.
Reste désormais à découvrir dans quelles proportions cette anomalie génétique intervient dans la survenue du cancer. C'est la question à laquelle tentent de répondre les chercheurs. Certes, il s'agit là de recherche fondamentale. Mais une avancée dans le diagnostic pourrait améliorer le pronostic du neuroblastome, la tumeur maligne la plus fréquente du nourrisson : 50% des enfants touchés ont en effet moins de 2 ans.
Du nouveau dans la compréhension du neuroblastome. Une équipe internationale de chercheurs vient d'identifier une mutation génétique susceptible d'être impliquée dans la survenue de ce cancer, souvent fatal, du système nerveux périphérique chez le jeune enfant. Il s'agit d'un marqueur semble-t-il, prometteur.
La mutation se situe sur le chromosome 6, dans une région appelée 6p22. « Les petits patients porteurs de cette mutation seraient plus exposés à une forme agressive de neuroblastome » précise le Dr John M. Maris, oncopédiatre au Children's Hospital of Philadelphia (Etats-Unis) et principal auteur de ce travail.
Reste désormais à découvrir dans quelles proportions cette anomalie génétique intervient dans la survenue du cancer. C'est la question à laquelle tentent de répondre les chercheurs. Certes, il s'agit là de recherche fondamentale. Mais une avancée dans le diagnostic pourrait améliorer le pronostic du neuroblastome, la tumeur maligne la plus fréquente du nourrisson : 50% des enfants touchés ont en effet moins de 2 ans.