Source : Immunity (Cell Press Journal), 5 février 2009

Des chercheurs américains auraient mis au jour le mécanisme qui permettrait au système immunitaire de défendre le cerveau, cible privilégiée du virus du Nil occidental, contre son agresseur…

Tout cela est au conditionnel bien sûr, cette découverte se limitant pour l'heure… au cas de la souris de laboratoire. Une interaction moléculaire complexe permettrait en fait, à l'organisme attaqué de « recruter » des cellules immunitaires spécialisées, pour les diriger ensuite vers le lieu de l'attaque virale. En l'occurrence le cerveau.

D'autres études devront confirmer ou infirmer cette hypothèse. Mais les attentes sont grandes, car il n'existe ni traitement ni vaccin contre cette maladie transmise par les moustiques.