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Mot-clé - conscience

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samedi, février 22 2014

Le “truc” venu de la biologie ou d’ailleurs : notre cerveau est-il conçu pour croire en Dieu ?

Nouvelle de source Atlantico.fr

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mardi, janvier 28 2014

Voilà pourquoi vous pouvez croire aux extraterrestres (et aux fantômes)

Nouvelle d'origine sur Slate.fr

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lundi, janvier 27 2014

Le cerveau de ceux qui croient en Dieu ne fonctionne pas comme celui des athées

Nouvelle d'origine sur Slate.fr

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Plus fortes que la philosophie ou la théologie ? Les maths et la physique tentent à leur tour de fournir les moyens à l’être humain de comprendre ce qu’est sa conscience

Nouvelle de source Atlantico.fr

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mardi, janvier 21 2014

Etre acteur est-il une forme saine de psychose ?

Nouvelle de source Top Santé

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mercredi, janvier 15 2014

40 minutes de super ordinateur pour égaler 1 seconde de cerveau humain : l’exploit des Japonais préfigure-t-il une véritable intelligence artificielle ?

Nouvelle de source Atlantico.fr

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dimanche, janvier 5 2014

Voilà comment votre cerveau sait l'heure qu'il est

Nouvelle de source Atlantico.fr

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lundi, octobre 28 2013

Pourquoi on n'est pas près de comprendre ce qu'est la conscience

Nouvelle de source Atlantico.fr

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dimanche, octobre 27 2013

La conscience est-elle le produit d’un processus quantique ?

Sources : newsoftomorrow.org et Gurumed

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dimanche, octobre 20 2013

Télépathie : comment expliquer que la personne à qui on pense nous appelle au même moment

Le biologiste Rupert Sheldrake revient sur sa théorie de la "résonance morphique" et remet en cause les bases mêmes de la recherche fondamentale. Extrait de "Réenchanter la science".

Les récits les plus courants à propos de la télépathie concernent, en effet, le téléphone. Des centaines de gens m’ont raconté la même histoire : ils pensaient à quelqu’un sans raison apparente et ont reçu un peu plus tard de cette personne un appel téléphonique inattendu voire surprenant. Autre version : il leur arrive de savoir qui appelle au moment où le téléphone sonne, avant même de décrocher ou de regarder le numéro d’appel. J’ai donné suite à ces récits en menant une série d’enquêtes en Europe, en Amérique du Nord et du Sud. En moyenne, 92% des gens qui ont répondu disaient avoir déjà pensé à une personne, d’une façon qui leur semblait télépathique, juste avant ou au moment de recevoir son appel.

Quand je parlais de ce phénomène avec des amis ou des collègues, la plupart admettaient que cela pouvait arriver. Certains le considéraient simplement comme télépathique ou intuitif, d’autres essayaient de l’expliquer « normalement ». Presque tous ces derniers en arrivaient à l’un ou l’autre des arguments suivants – ou aux deux. D’abord, disaient-ils, on pense aux gens fréquemment et parfois, par hasard, quelqu’un appelle au moment où en pense à lui ; on imagine que c’est de la télépathie mais on oublie toutes les fois où on pense à quelqu’un et où personne n’appelle. Ensuite – second argument –, il y a le fait que si vous connaissez bien une personne, votre connaissance de ses habitudes et de son emploi du temps vous permet de savoir quand elle risque d’appeler, même si ce savoir est inconscient.

J’ai alors cherché dans la littérature scientifique si je pouvais trouver des données ou des comptes rendus d’observation soutenant ces deux arguments. Je n’ai découvert aucune étude, d’aucune sorte, sur le sujet. Les arguments sceptiques standard étaient des allégations sans preuves. En science, cela ne suffit pas pour avancer une hypothèse : celle-ci doit être testée.

Il me fallait une procédure simple pour tester expérimentalement aussi bien la théorie de la coïncidence que celle de la connaissance inconsciente des habitudes. J’ai recruté des sujets qui disaient savoir souvent qui les appelait avant de répondre au téléphone et je leur ai demandé le nom et le numéro de quatre personnes proches, amis ou membres de leur famille. Les sujets ont été filmés en permanence pendant l’expérience, chacun seul dans une pièce avec un téléphone – évidemment, sans identification des numéros d’appel. Nous avions éteint les ordinateurs quand il y en avait et confisqué le téléphone portable des sujets. Dans une autre pièce, mon assistant ou moi choisissions l’un des quatre numéros au hasard avec un dé, puis contactions la personne en lui demandant d’appeler le sujet dans les deux ou trois prochaines minutes. Quand elle le faisait, le téléphone du sujet sonnait et avant de décrocher, celui-ci devait nommer devant la caméra la personne qui appelait, à son avis, parmi les quatre noms qu’il avait fournis. Le sujet ne pouvait s’appuyer sur les habitudes et routines des uns et des autres, l’heure de l’appel étant choisie par nous au hasard.

En devinant au hasard, les sujets auraient dû avoir raison une fois sur quatre, soit 25% de réussite. En fait la moyenne des bonnes réponses fut de 45 %, nettement au-dessus du hasard. Aucun des sujets n’a réussi à chaque fois, mais tous sont tombés juste bien plus souvent qu’ils n’auraient dû si la théorie du hasard était vraie. Des tests menés indépendamment l’un de l’autre par les universités de Fribourg en Allemagne et d’Amsterdam en Hollande ont confirmé plus tard ces résultats.

Pour certains tests, les sujets devaient indiquer, comme individus à contacter pour servir d’« appelant », deux proches et deux personnes inconnues sinon de nom. Leur taux de réussite avec ces appelants non familiers fut proche du niveau attendu du hasard, mais atteignait 52% avec les appelants proches. Cela venait confirmer l’idée que la télépathie se produit davantage entre personnes liées l’une à l’autre qu’entre étrangers.

Pour d’autres tests, nous avons recruté de jeunes Australiens, Néo-Zélandais et Sud-Africains vivant à Londres, en leur demandant de fournir les noms de deux proches restés au pays et de deux personnes nouvellement rencontrées en Angleterre. Le taux de réussite fut plus fort pour les proches, malgré la distance, que pour les connaissances faites en Angleterre plus récemment, montrant, une fois encore, que la proximité émotionnelle est plus importante que la proximité physique.

D’autres chercheurs ont également trouvé que la télépathie ne semble pas dépendre de la distance. À première vue cela peut sembler surprenant car la plupart des influences physiques, comme la gravitation ou la lumière, diminuent avec l’éloignement. Mais le phénomène physique le plus comparable à la télépathie est plutôt l’intrication quantique, dite aussi « non-localité quantique », qui ne diminue pas avec l’éloignement. Quand deux particules quantiques ont fait partie d’un même système et s’en sont séparées, elles restent « corrélées » ou « intriquées » de telle sorte qu’un changement de l’une s’accompagne instantanément d’un changement de l’autre. Albert Einstein qualifiait cet effet d’« effrayante action à distance».

La télépathie a évolué en même temps que les technologies. Maintenant, beaucoup de gens racontent avoir pensé à quelqu’un juste avant d’en recevoir un mail ou un SMS. Des expériences menées à l’aide de ces supports et basées sur le même protocole que précédemment ont également montré des résultats positifs hautement signifiants. Comme dans les tests avec le téléphone, le phénomène se produisait davantage avec des proches et ne diminuait pas malgré la distance physique. La même chose arrivait avec les tests utilisant l’internet.

J’ignore dans quelle mesure on peut apprendre à être plus sensible à la télépathie mais il existe plusieurs tests automatiques, dont un sur téléphone portable, qui permettent de savoir où on en est soi-même.

Par télépathie on capte des sentiments, des pensées, des besoins, à distance et à travers l’espace. D’autres phénomènes du même genre sont aussi spatiaux, comme l’impression d’être regardé ou la vision à distance. En revanche, la prémonition, la précognition et les pressentiments concernent des événements reliés au temps et impliquent des liens temporels allant du futur vers le présent.

Extrait de "Réenchanter la science", Rupert Sheldrake (Albin Michel Editions), © Albin Michel, 2013. Pour acheter ce livre, cliquez ici.


Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/telepathie-comment-expliquer-que-personne-qui-on-pense-appelle-au-meme-moment-rupert-sheldrake-866160.html#THVQdbg2T6Pou3MV.99


Quand je parlais de ce phénomène avec des amis ou des collègues, la plupart admettaient que cela pouvait arriver. Certains le considéraient simplement comme télépathique ou intuitif, d’autres essayaient de l’expliquer « normalement ». Presque tous ces derniers en arrivaient à l’un ou l’autre des arguments suivants – ou aux deux. D’abord, disaient-ils, on pense aux gens fréquemment et parfois, par hasard, quelqu’un appelle au moment où en pense à lui ; on imagine que c’est de la télépathie mais on oublie toutes les fois où on pense à quelqu’un et où personne n’appelle. Ensuite – second argument –, il y a le fait que si vous connaissez bien une personne, votre connaissance de ses habitudes et de son emploi du temps vous permet de savoir quand elle risque d’appeler, même si ce savoir est inconscient.

J’ai alors cherché dans la littérature scientifique si je pouvais trouver des données ou des comptes rendus d’observation soutenant ces deux arguments. Je n’ai découvert aucune étude, d’aucune sorte, sur le sujet. Les arguments sceptiques standard étaient des allégations sans preuves. En science, cela ne suffit pas pour avancer une hypothèse : celle-ci doit être testée.

Il me fallait une procédure simple pour tester expérimentalement aussi bien la théorie de la coïncidence que celle de la connaissance inconsciente des habitudes. J’ai recruté des sujets qui disaient savoir souvent qui les appelait avant de répondre au téléphone et je leur ai demandé le nom et le numéro de quatre personnes proches, amis ou membres de leur famille. Les sujets ont été filmés en permanence pendant l’expérience, chacun seul dans une pièce avec un téléphone – évidemment, sans identification des numéros d’appel. Nous avions éteint les ordinateurs quand il y en avait et confisqué le téléphone portable des sujets. Dans une autre pièce, mon assistant ou moi choisissions l’un des quatre numéros au hasard avec un dé, puis contactions la personne en lui demandant d’appeler le sujet dans les deux ou trois prochaines minutes. Quand elle le faisait, le téléphone du sujet sonnait et avant de décrocher, celui-ci devait nommer devant la caméra la personne qui appelait, à son avis, parmi les quatre noms qu’il avait fournis. Le sujet ne pouvait s’appuyer sur les habitudes et routines des uns et des autres, l’heure de l’appel étant choisie par nous au hasard.

En devinant au hasard, les sujets auraient dû avoir raison une fois sur quatre, soit 25% de réussite. En fait la moyenne des bonnes réponses fut de 45 %, nettement au-dessus du hasard. Aucun des sujets n’a réussi à chaque fois, mais tous sont tombés juste bien plus souvent qu’ils n’auraient dû si la théorie du hasard était vraie. Des tests menés indépendamment l’un de l’autre par les universités de Fribourg en Allemagne et d’Amsterdam en Hollande ont confirmé plus tard ces résultats.

Pour certains tests, les sujets devaient indiquer, comme individus à contacter pour servir d’« appelant », deux proches et deux personnes inconnues sinon de nom. Leur taux de réussite avec ces appelants non familiers fut proche du niveau attendu du hasard, mais atteignait 52% avec les appelants proches. Cela venait confirmer l’idée que la télépathie se produit davantage entre personnes liées l’une à l’autre qu’entre étrangers.

Pour d’autres tests, nous avons recruté de jeunes Australiens, Néo-Zélandais et Sud-Africains vivant à Londres, en leur demandant de fournir les noms de deux proches restés au pays et de deux personnes nouvellement rencontrées en Angleterre. Le taux de réussite fut plus fort pour les proches, malgré la distance, que pour les connaissances faites en Angleterre plus récemment, montrant, une fois encore, que la proximité émotionnelle est plus importante que la proximité physique.

D’autres chercheurs ont également trouvé que la télépathie ne semble pas dépendre de la distance. À première vue cela peut sembler surprenant car la plupart des influences physiques, comme la gravitation ou la lumière, diminuent avec l’éloignement. Mais le phénomène physique le plus comparable à la télépathie est plutôt l’intrication quantique, dite aussi « non-localité quantique », qui ne diminue pas avec l’éloignement. Quand deux particules quantiques ont fait partie d’un même système et s’en sont séparées, elles restent « corrélées » ou « intriquées » de telle sorte qu’un changement de l’une s’accompagne instantanément d’un changement de l’autre. Albert Einstein qualifiait cet effet d’« effrayante action à distance».

La télépathie a évolué en même temps que les technologies. Maintenant, beaucoup de gens racontent avoir pensé à quelqu’un juste avant d’en recevoir un mail ou un SMS. Des expériences menées à l’aide de ces supports et basées sur le même protocole que précédemment ont également montré des résultats positifs hautement signifiants. Comme dans les tests avec le téléphone, le phénomène se produisait davantage avec des proches et ne diminuait pas malgré la distance physique. La même chose arrivait avec les tests utilisant l’internet.

J’ignore dans quelle mesure on peut apprendre à être plus sensible à la télépathie mais il existe plusieurs tests automatiques, dont un sur téléphone portable, qui permettent de savoir où on en est soi-même.

Par télépathie on capte des sentiments, des pensées, des besoins, à distance et à travers l’espace. D’autres phénomènes du même genre sont aussi spatiaux, comme l’impression d’être regardé ou la vision à distance. En revanche, la prémonition, la précognition et les pressentiments concernent des événements reliés au temps et impliquent des liens temporels allant du futur vers le présent.

Extrait de "Réenchanter la science", Rupert Sheldrake (Albin Michel Editions), © Albin Michel, 2013. Pour acheter ce livre, cliquez ici.


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J’ai alors cherché dans la littérature scientifique si je pouvais trouver des données ou des comptes rendus d’observation soutenant ces deux arguments. Je n’ai découvert aucune étude, d’aucune sorte, sur le sujet. Les arguments sceptiques standard étaient des allégations sans preuves. En science, cela ne suffit pas pour avancer une hypothèse : celle-ci doit être testée.

Il me fallait une procédure simple pour tester expérimentalement aussi bien la théorie de la coïncidence que celle de la connaissance inconsciente des habitudes. J’ai recruté des sujets qui disaient savoir souvent qui les appelait avant de répondre au téléphone et je leur ai demandé le nom et le numéro de quatre personnes proches, amis ou membres de leur famille. Les sujets ont été filmés en permanence pendant l’expérience, chacun seul dans une pièce avec un téléphone – évidemment, sans identification des numéros d’appel. Nous avions éteint les ordinateurs quand il y en avait et confisqué le téléphone portable des sujets. Dans une autre pièce, mon assistant ou moi choisissions l’un des quatre numéros au hasard avec un dé, puis contactions la personne en lui demandant d’appeler le sujet dans les deux ou trois prochaines minutes. Quand elle le faisait, le téléphone du sujet sonnait et avant de décrocher, celui-ci devait nommer devant la caméra la personne qui appelait, à son avis, parmi les quatre noms qu’il avait fournis. Le sujet ne pouvait s’appuyer sur les habitudes et routines des uns et des autres, l’heure de l’appel étant choisie par nous au hasard.

En devinant au hasard, les sujets auraient dû avoir raison une fois sur quatre, soit 25% de réussite. En fait la moyenne des bonnes réponses fut de 45 %, nettement au-dessus du hasard. Aucun des sujets n’a réussi à chaque fois, mais tous sont tombés juste bien plus souvent qu’ils n’auraient dû si la théorie du hasard était vraie. Des tests menés indépendamment l’un de l’autre par les universités de Fribourg en Allemagne et d’Amsterdam en Hollande ont confirmé plus tard ces résultats.

Pour certains tests, les sujets devaient indiquer, comme individus à contacter pour servir d’« appelant », deux proches et deux personnes inconnues sinon de nom. Leur taux de réussite avec ces appelants non familiers fut proche du niveau attendu du hasard, mais atteignait 52% avec les appelants proches. Cela venait confirmer l’idée que la télépathie se produit davantage entre personnes liées l’une à l’autre qu’entre étrangers.

Pour d’autres tests, nous avons recruté de jeunes Australiens, Néo-Zélandais et Sud-Africains vivant à Londres, en leur demandant de fournir les noms de deux proches restés au pays et de deux personnes nouvellement rencontrées en Angleterre. Le taux de réussite fut plus fort pour les proches, malgré la distance, que pour les connaissances faites en Angleterre plus récemment, montrant, une fois encore, que la proximité émotionnelle est plus importante que la proximité physique.

D’autres chercheurs ont également trouvé que la télépathie ne semble pas dépendre de la distance. À première vue cela peut sembler surprenant car la plupart des influences physiques, comme la gravitation ou la lumière, diminuent avec l’éloignement. Mais le phénomène physique le plus comparable à la télépathie est plutôt l’intrication quantique, dite aussi « non-localité quantique », qui ne diminue pas avec l’éloignement. Quand deux particules quantiques ont fait partie d’un même système et s’en sont séparées, elles restent « corrélées » ou « intriquées » de telle sorte qu’un changement de l’une s’accompagne instantanément d’un changement de l’autre. Albert Einstein qualifiait cet effet d’« effrayante action à distance».

La télépathie a évolué en même temps que les technologies. Maintenant, beaucoup de gens racontent avoir pensé à quelqu’un juste avant d’en recevoir un mail ou un SMS. Des expériences menées à l’aide de ces supports et basées sur le même protocole que précédemment ont également montré des résultats positifs hautement signifiants. Comme dans les tests avec le téléphone, le phénomène se produisait davantage avec des proches et ne diminuait pas malgré la distance physique. La même chose arrivait avec les tests utilisant l’internet.

J’ignore dans quelle mesure on peut apprendre à être plus sensible à la télépathie mais il existe plusieurs tests automatiques, dont un sur téléphone portable, qui permettent de savoir où on en est soi-même.

Par télépathie on capte des sentiments, des pensées, des besoins, à distance et à travers l’espace. D’autres phénomènes du même genre sont aussi spatiaux, comme l’impression d’être regardé ou la vision à distance. En revanche, la prémonition, la précognition et les pressentiments concernent des événements reliés au temps et impliquent des liens temporels allant du futur vers le présent.


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Pour certains tests, les sujets devaient indiquer, comme individus à contacter pour servir d’« appelant », deux proches et deux personnes inconnues sinon de nom. Leur taux de réussite avec ces appelants non familiers fut proche du niveau attendu du hasard, mais atteignait 52% avec les appelants proches. Cela venait confirmer l’idée que la télépathie se produit davantage entre personnes liées l’une à l’autre qu’entre étrangers.

Pour d’autres tests, nous avons recruté de jeunes Australiens, Néo-Zélandais et Sud-Africains vivant à Londres, en leur demandant de fournir les noms de deux proches restés au pays et de deux personnes nouvellement rencontrées en Angleterre. Le taux de réussite fut plus fort pour les proches, malgré la distance, que pour les connaissances faites en Angleterre plus récemment, montrant, une fois encore, que la proximité émotionnelle est plus importante que la proximité physique.

D’autres chercheurs ont également trouvé que la télépathie ne semble pas dépendre de la distance. À première vue cela peut sembler surprenant car la plupart des influences physiques, comme la gravitation ou la lumière, diminuent avec l’éloignement. Mais le phénomène physique le plus comparable à la télépathie est plutôt l’intrication quantique, dite aussi « non-localité quantique », qui ne diminue pas avec l’éloignement. Quand deux particules quantiques ont fait partie d’un même système et s’en sont séparées, elles restent « corrélées » ou « intriquées » de telle sorte qu’un changement de l’une s’accompagne instantanément d’un changement de l’autre. Albert Einstein qualifiait cet effet d’« effrayante action à distance».

La télépathie a évolué en même temps que les technologies. Maintenant, beaucoup de gens racontent avoir pensé à quelqu’un juste avant d’en recevoir un mail ou un SMS. Des expériences menées à l’aide de ces supports et basées sur le même protocole que précédemment ont également montré des résultats positifs hautement signifiants. Comme dans les tests avec le téléphone, le phénomène se produisait davantage avec des proches et ne diminuait pas malgré la distance physique. La même chose arrivait avec les tests utilisant l’internet.

J’ignore dans quelle mesure on peut apprendre à être plus sensible à la télépathie mais il existe plusieurs tests automatiques, dont un sur téléphone portable, qui permettent de savoir où on en est soi-même.

Par télépathie on capte des sentiments, des pensées, des besoins, à distance et à travers l’espace. D’autres phénomènes du même genre sont aussi spatiaux, comme l’impression d’être regardé ou la vision à distance. En revanche, la prémonition, la précognition et les pressentiments concernent des événements reliés au temps et impliquent des liens temporels allant du futur vers le présent.

Extrait de "Réenchanter la science", Rupert Sheldrake (Albin Michel Editions), © Albin Michel, 2013. Pour acheter ce livre, cliquez ici.

samedi, octobre 12 2013

La musique reflète les croyances religieuses d'une société

Nouvelle d'origine sur Slate.fr

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lundi, octobre 7 2013

«Un souvenir, c'est d'abord une histoire qu'on se raconte»

Nouvelle de source Le Figaro

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dimanche, septembre 22 2013

Des scientifiques ont identifié l'origine de l'imagination dans le cerveau humain

Nouvelle de source Maxisciences

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vendredi, août 23 2013

Coma : un dispositif permet de mesurer l’état de conscience

Nouvelle de source Top Santé

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mercredi, août 14 2013

Que fait le cerveau lorsque le cœur s'arrête?

Nouvelle d'origine sur 20 Minutes

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Odorat: nez et cerveau forment une équipe de choc... En déconnexion

Nouvelle d'origine sur Techno-Science.net

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mercredi, août 7 2013

Même 20 ans plus tard, un dauphin peut reconnaître une vieille connaissance

Nouvelle de source franceTVInfo.fr

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samedi, août 3 2013

Troubles du sommeil : ce que votre corps essaie de vous dire sur votre santé la nuit

Grincer des dents la nuit peut par exemple témoigner d’un stress ou d’une anxiété. Votre corps vous parle, mais encore faut-il savoir l'écouter.

Notre corps nous en dit beaucoup pendant la nuit. Il parle à notre inconscient. Les troubles nocturnes ont tous une signification. Ils constituent une sorte de sonnette d’alarme car chacun à sa propre cause. Les troubles du sommeil sont des "messages" envoyés à notre corps. Reste alors à les décrypter. En voici quelques-uns et leur signification possible :

Les crampes : Les crampes nocturnes (souvent dans le mollet, la cuisse où le pied) peuvent être déclenchées par certains médicaments comme les statines ou encore par un régime alimentaire trop gras. Elles peuvent également être déclenchées par une grossesse ou un trop plein d’exercice, car dans ces deux cas les niveaux de minéraux dans le corps diminuent (exemple : calcium, magnésium). Parfois, il s’agit d’un problème de circulation où les artères périphériques qui approvisionnent les jambes sont endommagées. Afin d’éviter les risques de crampes nocturnes, certains conseillent de prendre un bain chaud avant de se coucher et de boire de l’eau.

Problèmes respiratoires :
Certaines personnes se réveillent la nuit avec la sensation d’être à bout de souffle. Il s’agit généralement d’asthme nocturne. Le fait d’être simplement dans la position allongée permet au mucus de s’accumuler plus facilement dans les voies respiratoires créant une pression sur les poumons. Des quintes de toux peuvent également se déclencher. Il n’y a pas de remède radical, mais il est conseillé d’éviter les facteurs déclenchant tels que les couettes en plumes par exemple. Votre médecin peut également prescrire des médicaments destinés à ouvrir les voies respiratoires. Si vous vous réveillez à bout de souffle seulement quelques heures après vous être couché, cela pourrait être un signe de problème cardiaque, voire d’insuffisance cardiaque. En effet, un cœur faible déclenche une accumulation de fluide dans les poumons.

Maux de tête nocturne : Ce trouble du sommeil a tendance à affecter les plus de 50 ans. C’est peut-être le fait que vous n’avez pas assez bu pendant la journée. En effet, les tissus qui entourent le cerveau sont majoritairement composés d’eau. Quand ils se déshydratent, ils se rétractent et la pression sur le cerveau peut causer des douleurs. En revanche, il paraitrait que boire de la caféine dans la soirée peut aider.

Mal de dos : Se réveiller avec des douleurs dans le dos est généralement la conséquence d’un matelas trop dure ou bien trop mou. Sachez qu’un matelas se change tous les 8 à 10 ans. Afin d’être sûr que votre matelas est bien adapté à votre dos, il suffit de s’assurer une fois allongé sur le dos que vous êtes capable de mettre votre main dans l’interstice entre la colonne vertébrale et le matelas. Si l’écart est trop grand, le matelas est trop dur et inversement, il faut donc trouver le juste milieu. Le mal de dos peut aussi être le signe d’une inflammation des disques de la colonne vertébrale probablement due à une infection bactérienne. Dormir sur le dos avec un coussin derrière la nuque et un autre derrière les genoux peut aider à soulager.

Toux : Connue également sous le nom de reflux nocturne, la toux survient quand la soupape fermant l’œsophage de l’estomac ne fonctionne pas correctement ce qui permet à l’acide de l’estomac de s’échapper. La cause serait donc peut être le reflux gastrique. Ce reflux acide, irrite la gorge. Cette maladie affecte particulièrement ceux qui ont un excès de graisse autour de l’estomac car cela créer une pression sur l’abdomen poussant le contenu de l’intestin jusqu’à l’œsophage. Transpiration : La transpiration nocturne est souvent due à l’alcool qui nous fait ressentir une sensation de chaleur. Un faible niveau d’hormones peut également en être la cause. Par exemple, chez les femmes, les niveaux d’œstrogènes, important pour maintenir la température du corps, chutent juste avant ou pendant la période de menstruation ou au cours de la ménopause. Chez les hommes, la transpiration pourrait venir d’un faible niveau de testostérone, celle-ci étant également indispensable pour réguler la température du corps.

Atlantico a interrogé le neurologue Jérôme Blin, spécialiste de la mémoire et du sommeil à la Clinique de la mémoire. Propos recueillis par Blanche Martin.
Atlantico : Est-il vrai que notre corps nous parle la nuit ?

Jérôme Blin : Bien sûr. Il faut savoir que nous dormons un tiers de notre temps. C’est considérable. La partie consciente et la partie inconsciente de l’être humain peuvent être comparées à un iceberg. La partie émergée serait notre partie consciente et la partie immergée, beaucoup plus vaste, serait notre inconscient. L’inconscient est un véritable continent. Un continent peu connu mais essentiel qui se révèle notamment pendant la nuit.

Pouvez-vous nous donner quelques exemples concrets de troubles du sommeil significatifs d’une pathologie ?
Grincer des dents la nuit par exemple, peut témoigner d’un stress ou d’une anxiété. Parfois, un trouble du sommeil peut constituer le tout premier signe d’une maladie. On peut prendre comme exemple celui du rêve acté. D’habitude on ne bouge pas quand on rêve. Pourtant dans certains cas, le sujet pense poursuivre quelqu’un. Il bouge alors énormément jusqu’à se retrouver par terre au réveil avec parfois le lit retourné. Le rêve acté est significatif d’une maladie de Parkinson. Il s’agit là du tout premier signe de la maladie, un premier signe inconscient qui peut précéder de 10 à 20 ans les signes du jour. Dans ce cas précis, notre inconscient nous alerte.

Connaissez- vous un trouble du sommeil que l’on retrouve assez fréquemment ?
Celui du réveil de milieu de nuit est très fréquent et revient, chez les sujets atteints, de manière constante. Il s’agit de personnes qui se réveillent en milieu de nuit et ce, pendant plusieurs heures. Le réveil de milieu de nuit est un syndrome dépressif attesté.

dimanche, juillet 28 2013

Les secrets de notre voix intérieure

Nouvelle de source Maxisciences

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jeudi, juillet 4 2013

Nouveau traitement pour la schizophrénie

Nouvelle d'origine sur Techno-Science.net

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